Toutes les mesures ont été prises afin d’assurer plein succès à la 21è édition du Grand Prix SAR la Princesse Lalla Meryem de tennis, prévue du 20 au 27 mai à Rabat, a assuré le président du club Union sportive des Cheminots du Maroc (USCM), Mohammed Smouni.
A l’instar des cinq dernières éditions de ce prestigieux trophée et des grands rendez-vous sportifs qu’il a organisés, l’USCM ne ménagera aucun effort en vue de la réussite de ce Grand Prix qui réunira les 30 meilleures joueuses mondiales, a-t-il dit lors d’une conférence de presse organisée lundi à Rabat.
La tenue de cette manifestation sportive d’envergure, placée sous le Haut patronage de SM le Roi Mohammed VI, pour la sixième année d’affilée au club des cheminots, consacre la confiance placée dans le club par les instances sportives internationales, à la faveur des prestations qu’il fournit à tous les niveaux, que ce soit en termes de logistique, de qualité des terrains, ou de la technologie utilisée lors des matches, a-t-il poursuivi.
De son côté, le directeur technique du tournoi, Khalid Outaleb a fait savoir que la 21è édition du Grand Prix SAR la Princesse Lalla Meryem offrira un plateau riche et varié, d’autant plus que ce trophée réunira cette année 60 joueuses représentant 23 pays des quatre continents (Europe, Afrique, Amérique et Australie), dont 30 tenniswomen classées au top 100 mondial.
Le tableau final sera marqué par la participation, notamment, de l’Italienne Martina Trevisan, tenante du titre et 20è joueuse au classement WTA, outre la vainqueur de l’édition 2019, la Grecque Maria Sakkari, qui s’était classée à la 3è place mondiale en 2022, outre l’Américaine Sloane Stephens (28è) et la Canadienne Leyla Fernandez (49è), a-t-il précisé.
Selon lui, l’étape marocaine du circuit WTA a, depuis toujours, été un tremplin dans la carrière des tenantes du titre, à l’instar de la Belge Elise Mertens, sacrée en 2018 et la Russe Anastasia Pavlyuchenkova, qui s’était imposée en 2017, ajoutant que ce prestigieux évènement a également fait découvrir des talents arabes, comme la championne tunisienne Ons Jabeur, l’Egyptienne Mayar Sherif, aux côtés des trois espoirs nationales, Yasmine Kabbaj, Aya El Aouni et Malak El Allami.
Pour sa part, le vice-président de la Fédération royale marocaine de tennis, Aziz Laaraf, a indiqué que le Royaume est le seul pays en Afrique à organiser deux grands tournois et qui offre aux amoureux de la balle jaune deux semaines de spectacle à l’image du Grand prix Hassan II de tennis, dont la dernière édition a été organisée récemment à Marrakech.
La large couverture médiatique de cette grande compétition aux niveaux national et international est à même de mettre en avant les potentialités de la capitale du Royaume, dans la mesure où les matches seront diffusés dans 150 pays et suivis par pas moins de 300 millions de personnes sur les réseau sociaux, a-t-il fait remarquer.
La vainqueur du tournoi empochera 280 points au classement WTA, tandis que la finaliste gagnera 180 points. Les joueuses éliminées en demi-finales seront récompensées de 110 points en individuel, soit le même nombre de points réservé aux trois premières en double.
MAP