De 1977 avec le film “Noces de sang” de Souheil Ben Barka jusqu’à 2020 avec “L’Automne des Pommiers” de Mohamed Mouftakir, feue Naïma Elmcherqui a signé un parcours distingué, empreint de générosité et de profondeur artistiques. Ses yeux, illuminés d’une étincelle particulière lorsqu’ils croisaient l’objectif d’une caméra, reflétaient son lien viscéral avec le septième art. […]